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« Capteurs »
Un mot tiré de l'univers du renseignement, utile pour ne pas polluer son data lake.
Truc plus ou moins technique permettant de faire la captation de quelque chose ayant plus ou moins d’intérêt. Les services de renseignement les utilisent pour acquérir des informations à l’insu du plein gré du producteur par tout un tas de moyens rocambolesques. Dans certains cas, il parait même que le capteur serait un être humain et le canal d’acquisition, une simple conversation.
En management de l’information les capteurs prennent tout un tas de formes (sonores, optiques, mouvements, dématérialisation, IHM, etc.) qu’il faut savoir mettre en musique afin de pouvoir faire l’acquisition d’une information utile captée au bon moment, au juste besoin et pouvant être aisément transformée pour être interprétable dans les meilleurs délais.
Vous souhaitez en savoir plus sur captation au juste besoin des données, de l'information et des connaissances ?
« Aspiro »
Un mot tiré de l'univers du renseignement, utile pour conserver un cadre de travail sécurisant et épanouissant.
Pas le surnom d’un aspirateur mais presque ! En réalité, surnom donné à un section chargée de débarrasser les locaux diplomatiques de tous mouchards, capteurs, systèmes d’écoute ou de prise d’image. Ces agents de la France libre ayant été formés par les britanniques, les « sweepers » (balayeurs) c’est tout naturellement que ces nettoyeurs se sont baptisés les « aspirateurs » puisqu’ils pratiquent le grand ménage de printemps là où des services étrangers laissaient traîner leurs micros espions.
En management de l’information, il serait nécessaire de s’inspirer de ces grands nettoyages, notamment dans un monde où des capteurs accumulent d’énormes volumes de données qu’il n’est pas toujours nécessaire de conserver sur des temps plus ou moins longs. A quand un poste de technicien de surfaces numériques au sein de nos équipes ?
Vous souhaitez en savoir plus sur la conservation des données ou simplement comment ne pas engorger votre patrimoine informationnel de données inutiles ?
« Méthode A1 »
Un mot tiré de l'univers du renseignement, utile pour conserver un cadre de travail sécurisant et épanouissant.
Méthode à la portée de tous pour évaluer à l’expérience, à la jugeote ou sur dossier d’analyste la fiabilité d’une information. A une information donnée on attribue une lettre de A à F pour estimer la fiabilité d’une source et un chiffre de 1 à 6 pour quantifier la vraisemblance de l’information. Ainsi, James Bond m’informant de la venue d’un espion russe à mon domicile sera estimé autour de « A2 » (sauf s’il s’agît de Timothy Dalton), alors que la note risque de bien être différente si l’information provient de l’un de mes cousins le 1er avril.
En management de l’information, c’est une matrice simple et chargée d’une iconographie engageante permettant d’acculturer les équipes aux problématiques d’estimation de la qualité d’une information et un réflexe probant dans le cadre de la lutte contre les fakes news.
Vous souhaitez en savoir plus sur la manière de déployer la méthode A1 au sein de vos équipes ou de lutter contre les fake news en entreprise ?
A propos
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